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À Paris, un Algérien condamné pour des vols ahurissants

À Paris, un Algérien condamné pour des vols ahurissants

Un quadragénaire algérien a été arrêté le 16 novembre dernier par les éléments de la Brigade anti criminalité (BAC) de Paris, puis condamné à la prison pour des vols ahurissants.

Accusé de multiples vols tout aussi ahurissants les uns que les autres à l’image d’un sac à main d’une préfète ou même d’un ordinateur de l’Otan, l’individu répondant aux initiales N.B a été arrêté dans le métro parisien et condamné mardi 18 janvier à 3 ans de prison par le parquet de Paris, selon le Figaro.

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Se faisant passer pour un Israélien afin de dissimuler son identité, Nabil.B, accusé de multiples infractions, a été condamné mardi dernier à 3 ans de prison.

Un Algérien considéré comme le « voleur le plus actif de Paris »

L’auteur des faits de nationalité algérienne était recherché mais n’avait pas dérogé à ses habitudes jusqu’à son interpellation. Selon les enquêteurs, l’homme âgé de 43 ans, interpellé et condamné par le passé à plusieurs reprises pour vols, commettait ses actes par la ruse sur des terrasses et dans des locaux de sociétés à en croire les informations du Figaro.

Pour le même média, une source policière a souligné que le voleur était le « plus actif de Paris » mais aussi, il était un fin connaisseur des ficelles du système judiciaire français n’hésitant pas à mettre tout en œuvre pour se retrouver à l’hôpital dans le but d’échapper à l’interrogatoire des policiers.

Il vole un ordinateur de l’OTAN, son acte le plus improbable

Soupçonné d’avoir commis un acte insolite en volant le sac de la préfète des Bouches-du-Rhône, Frédérique Camilleri, lors d’un repas dans un restaurant du 7e arrondissement, cet Algérien aurait commis l’inimaginable en volant cette fois… un ordinateur de l’Otan appartenant à un haut gradé allemand.

En effet, le 15 juillet dernier, il aurait réussi à se faufiler dans le Cercle national des armées. A l’intérieur d’une salle de conférence il subtilise un ordinateur de l’OTAN ce qui avait, selon Le Parisien, créé à l’époque des remous diplomatiques.

Il aurait aussi subtilisé 70.000 euros de bijoux à une touriste. L’auteur des faits devra repasser devant le juge le mois de mars prochain pour répondre de ses actes.

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