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Le président de la FAF évoque sa relation avec Belmadi

Le président de la FAF évoque sa relation avec Belmadi

L’Algérie a été éliminée, sans gloire, de la CAN 2021. Les champions d’Afrique en titre ont quitté le tournoi après le premier tour, suite à deux défaites contre la Guinée équatoriale et la Côte-d’Ivoire et un match nul contre la Sierra Léone.

Après cette élimination précoce, deux polémiques ont refait surface. La première concerne Riyad Mahrez.

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A Douala, le capitaine de l’équipe d’Algérie s’est éteint alors que tout le monde attendait de le voir porter les Verts jusqu’au sacre final. Curieusement, Riyad Mahrez n’a montré grand-chose, alors qu’il est au sommet de son art avec Manchester City où il enchaîne les performances XXL.

 

Son absence au stage de préparation de la CAN au Qatar, a-t-il pesé sur son rendement à la CAN 2021 ? L’interrogation légitime a été balayée d’un revers de la main par Djamel Belmadi. Le sélectionneur national a refusé de parler des vacances accordées à Mahrez avant le début de la CAN, tout en promettant la véritable raison de son arrivée tardive au camp de préparation des Verts à Doha.

« Notre relation est cordiale »

La seconde polémique qui a ressurgi est liée aux relations entre le président de la Fédération algérienne Amara Charef-Eddine et Djamel Belmadi. Sur les réseaux sociaux, on murmure que les relations entre les deux hommes sont exécrables, mais rien de concret n’est venu confirmer les dissensions. Seulement, pendant la durée du premier tour de la CAN, on a rarement vu les deux hommes ensemble.

S’il est difficile de parler de tiraillements, il est aisé de constater que les relations entre Belmadi et Charef-Eddine ne sont  celles qui réunissaient le sélectionneur national à l’ex-patron de la FAF Kheireddine Zetchi. Au printemps dernier, lors de l’élection du nouveau président de la FAF, Belmadi n’a pas hésité à apporter publiquement son soutien Zetchi et les tentatives de l’impliquer dans l’adoubement de son successeur

Pour éclaircir ce point, le président de la FAF a été interrogé par la presse ce samedi. Sa réponse est limpide : « Il n’y a aucune raison pour que la relation entre moi et le sélectionneur soit tendue ou froide. Lui, il fait son travail et le mien. Chacun connaît son rôle. Notre relation est très bonne. Elle est cordiale même. »

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